Le match quasi parfait.
Loin d’être apparu touché physiquement à la suite de son combat de la veille au soir face à Novak Djokovic, Alexander Zverev a, au contraire, montré ce dimanche en finale le même visage et le même tennis, sérieux, composé, costaud, que celui qui lui avait permis de franchir l’obstacle du n°1 mondial.