2/ Des origines à l'horizon...

Aux avant-postes, toujours.

Quand éclate le conflit, Garros s’engage "pour la durée de la guerre", lui le Créole non assujetti au service militaire. Fidèle à ses valeurs de courage et de patriotisme, il se jette corps et âme dans le combat. Prisonnier après un atterrissage en territoire ennemi, il est confronté à de terribles conditions de détention, mais parvient à s'évader en février 1918. Le chef du gouvernement, Georges Clemenceau, veut en faire son conseiller spécial, mais Garros ne conçoit son engagement qu'en première ligne : il repart au combat. Il n'en reviendra pas.