“C’est quand on doit se battre que l’on apprend généralement se connaître, que l’on a l’occasion de s’élever comme un phénix, d’évoluer et de devenir meilleur.“
Novak Djokovic nous a habitués depuis plusieurs années à des sorties verbales baignées de philosophie, mais cette phrase prononcée avec beaucoup d’émotion après la conquête de son quatrième Wimbledon en a dit particulièrement long.
Vingt-cinq mois sans titres du Grand Chelem, pour un champion de la trempe du Serbe, c’est long. Et difficile à accepter, surtout quand cette disette correspond à une longue période de doute(s).