©Corinne Dubreuil / FFT
1 jour, 10 chiffres
Pour sa dernière à Roland-Garros, Julien Benneteau s’est offert un menu 100 % argentin. Entrée : un Leonardo Mayer mangé en deux temps. Plat de résistance : un Juan Martin del Potro a priori autrement plus coriace. Blessé aux adducteurs, le joueur de Tandil est arrivé sur la pointe des pieds à Paris. Mais il reste une montagne à franchir.