Parce que Paris les connaît bien…
Sloane Stephens (n°7) contre Garbiñe Muguruza (n°19), c'est tout d'abord un choc entre la finaliste sortante et la championne de l'édition 2016. Les deux ont pris part à deux des plus belles finales féminines disputées ces dernières années à Paris, certes avec des issues différentes, puisque Stephens avait perdu face à Halep l'an passé alors que Muguruza (également sacrée à Wimbledon en 2017) l'avait emporté contre Serena Williams.
Paris connaît donc bien les deux joueuses et les deux joueuses connaissent bien Paris… Muguruza un peu plus, peut-être, étant donné que son entraîneur (Sam Sumyk), son préparateur physique (Laurent Lafitte) et son équipementier raquette (Babolat) sont français. L'Espagnole a d'ailleurs montré de beaux progrès dans la langue de Molière.