On peut être n°1 mondiale et être l'objet de critiques. Ce paradoxe est dû au gel du classement choisi par la WTA en ces temps prolongés de crise sanitaire. Cible de quelques contestataires, Ashleigh Barty reste insensible à cette "fronde".
L'Australienne a argumenté ce week-end qu'elle "n'avait pas à prouver qu'elle méritait ce classement" (malgré son absence volontaire des tournois en 2020). Mais sa meilleure réponse, elle l'a donnée sur le terrain, en s'imposant en patronne à Miami.