Cher public,
Je crois t’avoir arraché pas mal de larmes depuis le début de ma quinzaine, entre les adieux (probables) de Rafael Nadal, ceux d’Alizé Cornet et les défaites d'Andy Murray, Richard Gasquet ou Stan Wawrinka que je ne reverrai peut-être pas, du moins sur le terrain. Cette année, il y a beaucoup de nostalgie en moi car j'ai bien conscience d’arriver à la fin d’un cycle. Alors, au milieu de ce concert de départs à haute dose émotionnelle, j’ai été extrêmement heureux, ému même, d’assister à un retour : celui de Naomi Osaka, qui a livré face à "mon" Iga Swiatek un match d'ores et déjà assuré de marquer cette édition 2024.